L’HONNÊTETÉ D’HÉMAN
J’admire énormément Héman, le poète-auteur du Psaume 88. Il avait pour lot dans la vie une détresse constante. Il s’est plaint ainsi : « Car mon âme est rassasiée de maux » (v. 4). Il en avait assez de souffrir !
PLANTÉS DANS LA MAISON DE DIEU
Après avoir fait passer une série d’entrevues à des personnes âgées, l’auteur Don Gold a publié un livre intitulé Until the Singing Stops : A Celebration of Life and Old Age (D’ici la fin des chants : célébrer la vie et la vieillesse).
REGARDER DERRIÈRE SOI
George Matheson, connu surtout pour le cantique « O Love That Will Not Let Me Go » (Ô cet amour qui ne m’abandonnera jamais) a écrit une autre chanson intitulée « Ignored Blessings » (Des bénédictions négligées) dans laquelle il considère le chemin parcouru. C’est en regardant derrière lui qu’il a pu voir que son Père céleste l’avait conduit tout le long du chemin.
PEU IMPORTE OÙ ET QUAND
Depuis plusieurs années, je corresponds avec un pasteur au Népal qui se rend souvent avec les membres de son Église dans des collectivités éloignées de l’Himalaya pour y prêcher et y implanter des Églises. Dernièrement, il m’a envoyé son itinéraire de la semaine suivante au sujet de laquelle il m’a demandé de prier.
LES PAONS ET LEURS SEMBLABLES
Les paons mâles sont de superbes créatures au plumage d’un bleu vert chatoyant et aux longues traînes ayant à leur extrémité des « yeux » nuancés d’or, de rouge et de bleu. Ce sont des oiseaux d’une beauté saisissante, mais dont les pieds sont laids !
ORGUEIL ET PRÉJUGÉS
Dans les années 1930, le foyer dans lequel j’ai grandi était aimant et heureux, mais mes parents étaient souvent partis. Chaque fois, le noyau du foyer devenait la minuscule et joyeuse Annie, notre femme de ménage.
LE VIEUX MOULIN À VENT
Un homme ayant grandi dans un ranch de l’ouest du Texas nous raconte l’histoire d’un vieux moulin à vent branlant qui se trouvait juste à côté de la grange de la famille et qui alimentait la maison en eau. C’était la seule source d’eau à plusieurs kilomètres à la ronde.
UN LONG SENTIER TORTUEUX
Le chemin de la vie me semble parfois trop abrupt et trop long. Je n’ai plus la force et la volonté de continuer à avancer. C’est alors que je me rappelle que Dieu connaissait ce chemin bien longtemps avant que je sois appelé à le parcourir. Il a toujours su à quelles difficultés je me heurterais et les souffrances que je ne pourrais jamais expliquer à quelqu’un d’autre. Il me connaît et m’offre sa présence.
DE SUPERBES CICATRICES
Il y a plusieurs années, je faisais une randonnée le long de la rivière Salmon quand je suis tombé sur un boisé de pins partiellement écorcés. Un ami forestier m’avait dit que les Amérindiens qui chassaient jadis dans la région avaient l’habitude d’écorcer les arbres pour récolter la couche du dessous pour s’en faire du chewing-gum. Certaines cicatrices les défi-guraient, mais d’autres, remplies d’une sève cristallisée que le vent et les intempéries avaient brunie, s’étaient transformées en motifs d’une rare beauté.
TROP SERVIABLE ?
Est-il possible d’être trop serviable ? Se peut-il que notre serviabilité rende la vie plus difficile aux autres ? Oui, si nous nous montrons gênants, importuns, provocateurs, manipulateurs ou dominateurs. Si l’aide que nous apportons ne résulte que de notre angoisse, il se peut que nous cherchions simplement à nous venir en aide à nous-mêmes.